Les potins du paroissien — Diocèse de Belley-Ars

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Les potins du paroissien

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Priere de St Patrick

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le psaume 136 qui sera chanté ce 4e dimanche de Carême est à l'origine de ce chant Pop-rock qui à fait le tour monde. Bien des gens ont danser sur cette muisique sans bien savoir que c'était un texte biblique...

voici les paroles liturgiques  :

Au bord des fleuves de Babylone nous étions assis et nous pleurions, nous souvenant de Sion ;
aux saules des alentours nous avions pendu nos harpes.

C’est là que nos vainqueurs nous demandèrent des chansons, et nos bourreaux, des airs joyeux :
« Chantez-nous, disaient-ils, quelque chant de Sion. »

Comment chanterions-nous un chant du Seigneursur une terre étrangère ?
Si je t’oublie, Jérusalem, que ma main droite m’oublie !

Je veux que ma langue s’attache à mon palais si je perds ton souvenir,
si je n’élève Jérusalem au sommet de ma joie.

 

 

 

AUX PAYSANS DE FRANCE

« La vocation de la France est d’être cultivée comme un jardin » (Marthe Robin à Jean-Louis Laureau / Journées Paysannes).

Si la noble mission du paysan est de nourrir la population, le rôle des artistes est d’en souligner et sublimer la beauté du geste.

« …Vous le labeur et moi, le rêve

Nous sommes du même sillon… »

En réponse au manque de considération due au monde paysan, je me devais de leur offrir cette chanson.

Patrice Martineau

 

Reportage Photo de la St Roland-fontaine Bénite 2023, par notre envoyé spécial Dominique PROST

https://photos.app.goo.gl/5JZAu3McLeAP1yLj8

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de l'autre-coté du "Notre Père" ou quand Dieu nous prie

 « Mon fils, ma Fille qui est sur la Terre,

fais que ta vie soit le meilleur reflet de mon nom.

Engage-toi pour mon règne à chaque pas que tu fais

Dans chaque décision que tu prends,

dans chaque attitude et chaque geste,

construis-le pour moi et avec moi.

C’est là ma Volonté sur la terre, comme au ciel.

Reçois le pain de chaque jour,

conscient que c’est un privilège et un miracle.

Je pardonne tes erreurs, tes chutes, tes abandons,

mais fais de même face à la fragilité de tes frères.

Lutte pour plus de justice et de paix,

et je serai à te cotés.

N’ai pas peur,  le mal n’aura pas le dernier mot.

Amen. »

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Tant de manières d’être mère… Bonne fête à toutes les mères !

Bonne fête à toutes les mères, celles qui le sont pour avoir porté, neuf mois durant, dans les entrailles de leur corps la promesse d’une vie naissante !

Celles qui ont porté dans leurs bras le corps fragile d’un nouveau-né, l’ont lavé, caressé, massé, habillé, nourri, pansé.

Celles qui ont accompagné les premières années de leur enfant en lui tenant la main, puis ont accepté dans un geste de confiance, de lâcher cette main pour que d’autres la prennent.

Celles qui ont soutenu, encouragé, éduqué, surveillé tous les « premiers pas » : premiers pas du pied devant l’autre, premiers pas de chaque nouvelle étape.

Celles qui continuent, toute une vie, à faire naître leur enfant à la vie.

Celles qui attendent et attendent que la vie germe au creux d’elles, qui en rêvent tant.

Bonne fête à toutes celles qui ont accueilli, dans leur vie, l’enfant d’une autre. Bonne fête à celles qui, dépassées par l’ampleur de cette infinie mission, l’ont confiée à une autre, lui offrant ainsi le cadeau de devenir mère.

Bonne fête à celles qui sont mères de tant de manières :

Celles qui accouchent,

Celles qui soignent,

Celles qui guérissent,

Celles qui nourrissent,

Celles qui nettoient,

Celles qui accueillent,

Celles qui consolent,

Celles qui rassurent,

Celles qui encouragent,

Celles qui enseignent,

Celles qui éduquent,

Celles qui conseillent,

Celles qui guident,

Celles qui servent,

Celles qui partagent leurs compétences, quelles qu’elles soient.

Celles qui prient, qui donnent naissance à des êtres reliés, et qui accouchent de l’amour divin dans le cœur des autres.

Celles qui ouvrent aux mourants les portes de l’au-delà.

Celles qui, traversant la maladie, s’inquiètent de savoir si elles auront le bonheur de voir grandir leurs enfants.

Celles qui, parties trop tôt de ce monde, continuent d’être mère, veillant sur leurs enfants par une autre présence.

Celles qui, beaucoup trop tôt, ont été mère de leurs parents défaillants, ou de leurs proches.

Celles qui se réjouissent et s’émerveillent du miracle de la Vie.

Celles qui assument tout, bien trop seules.

Celles qui souffrent de voir leur enfant blessé, humilié, boitant, titubant, mais continuent d’espérer en la Vie, faisant confiance en ceux et celles qui le feront naître à nouveau.

Celles blessées par la mort de leur enfant.

Bonne fête à nous toutes qui faisons de notre mieux mais, qui, par notre incomplétude, incitons nos enfants à plonger plus profondément leurs racines dans la terre nourricière de la Vie pour s’abreuver à d’autres sources.

Et bonne fête à toutes celles qui ne se seraient reconnues dans aucun de ces tableaux, et désirent peindre à souhait leur autoportrait.

Quelle que soit notre situation, notre idéal dans cette vie, quel que soit notre âge,

BONNE FETE A NOUS TOUTES !

Et… MERCI à ceux qui nous ont permis d’être mère : les hommes et les enfants !

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De: "Pol PALACIOS" À: lucledroi
Envoyé: Jeudi 6 Avril 2023 15:14:59
Objet: Remerciements d'un voyageur passé à Chézery
 

Mon Père,

Ingénieur de formation, j'ai exercé mon métier dans le pétrole aux quatre coins du monde et, à mes heures, je suis un grand voyageur à pied au long cours. Chaque année, je fais un long voyage à pied, en hiver ou en automne, avec pour seul bagage mon sac, quelques vivres et mon équipement de bivouac à la belle étoile, à travers la France, à la rencontre de la France éternelle rurale, agricole et sauvage, me repérant invariablement de village en village au clocher des églises, visitant, entre autres, les lavoirs, les anciennes chapelles romaines, et les sources et fontaines des saints anciens des premiers temps de la chrétienté qui parsèment le pays.

Cet hiver, donc, après une traversée du Jura commencée en Bourgogne, à Dijon, voyage faisant suite à un premier voyage l'année d'avant où j'ai longé la Seine depuis le Havre jusqu'à sa source au plateau de Langres, avec l'idée si la fortune m'y autorise d'aller un jour à Rome ou plus loin, je descendais la vallée de la Valserine. Vers 9 heures du soir, j'avais déjà fait, ce jour là, une trentaine de kilomètres et le gel devenait de plus en plus fort dans l'obscurité, la neige et la nuit. Je me demandais depuis déjà depuis une heure si j'allais trouver un abris de fortune aux environ d'un village qui m'éviterait de poser mon camp dans la nature quand je suis arrivé à Chézery, face à la petite église paroissiale.

C'est là que s'est produit ce que j'ai appelé dans mon récit le petit miracle de Saint Roland, en effet, en actionnant la poignée de la vieille porte, par acquis de conscience et par je ne sais quelle intuition, quelle ne fut pas ma surprise de voir que j'avais affaire à l'une des seules églises croisées à travers toute la France qui soit ouverte !

Je prend aujourd'hui ma plume, mon Père, pour vous remercier chaleureusement d'avoir laissé l'église ouverte à toute heure et pour rendre grâce à la Providence de l'avoir mise sur mon chemin. Je voulais vous dire que je me suis permis d'y passer la nuit à l’abri des rigueurs de l'hiver et des éléments, sur le plancher dans le coin, à gauche, face aux reliques et sous le petit escalier. Nuit très réparatrice, au chaud, si j'ose dire, qui faisait suite à plusieurs passées dans la forêt par des températures très négatives, ce qui malgré mon excellent équipement d'expédition, est une épreuve. J'ai été très attendri par votre message s'adressant aux indélicats qui ne contribuent pas aux luminions et je me suis permis de faire une petite offrande en en allumant un comme dans mon enfance et en en prenant un second pour ma besace. Il me tient, depuis, compagnie dans mon sac depuis lors pour faire mes veillées et n'est pas encore consumé.

L'abbaye, donc, sans le savoir, a, une nuit encore dans son histoire, hébergé le voyageur et j'ai trouvé cela très beau. Votre paroisse est la seule qui m'ait offert cette hospitalité sur la totalité des plus de mille kilomètres que j'ai parcourus à travers les campagnes du pays.

Merci !

Avec le plaisir anticipé d'avoir l'honneur d'échanger avec vous, je vous prie, mon Père, de bien vouloir recevoir toute ma considération.

Pol PALACIOS

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Envoyé par l'un de nos paroissiens du parvis:

En l'an de grace 2023 , Dieu visite à nouveau Noé et lui dit : - "Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques humains parmi les plus méritants..
Dans six mois, j'envoie la pluie durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !"
- Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu'une vague ébauche de chantier.
- "Mais, Noé, tu n'as pratiquement rien fait ! Demain, tu le sais, c'est le Déluge!"
- "Pardonne-moi, Tout Puissant, j'ai fait tout mon possible mais ....les temps ont changé:
- J'ai essayé de bâtir l'arche, seulement il faut un Permis de Construire et le bureau instructeur me fait des ennuis au sujet du système d'alarme anti-incendie et du contrôle des termites.
- Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l'échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue leur vue. (J'ai dû recourir à un médiateur-conciliateur et la décision est en appel au tribunal administratif).
- l'Urbanisme m'a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l'arche jusqu'à la mer. Pas moyen de leur faire comprendre que la mer allait venir jusqu'à nous.
- La coupe du bois de construction navale s'est heurtée aux multiples Associations pour La Protection de l'Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon autorisation donnée par les Eaux et Forêts n'avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l'Environnement, et que cela détruisait l'habitat de plusieurs espèces animales. J'ai pourtant expliqué qu'il s'agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n'y a fait..
- J'avais à peine commencé à rassembler les couples d'animaux que la SPA et la WWF me sont tombées sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux que je les soustrayais contre leur gré à leur milieu naturel et que j'enfermais dans des pièces trop exiguës.
- Ensuite, l'agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l'impact sur l'environnement de ce fameux déluge.
-Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles. Je les avais embauchés car les Syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas, syndiqués.
- Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m'assigner devant les tribunaux pour tentative de franchissement de frontière en possession d'espèces protégées ou reconnues comme "dangereuses".
- Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, ... j'ai manqué de persévérance....et j'ai abandonné le projet".

Aussitôt les nuages se dissipèrent, un arc-en-ciel apparut et le Soleil se mit à briller.
- "Mais tu renonces à détruire le monde ? " demanda Noé.


- "Inutile, répondit Dieu, l'ADMINISTRATION s'en charge !"

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Pourquoi l'Argentine ne pouvait pas perdre la finale de la Coupe du monde  ce dimanche 18 décembre !

en ce 4e dimanche de l'Avent , de nombreuses paroisses ont chantés "Venez Divin Messie".... Evidemment ça démarre bien

bien sur on sait que le pape François est argentin , c'est pas rien

et puis les couleurs de la Celesta le bleu et blanc c'est aussi les couleurs de la Madonne.

Tout ça c'est du Lourd; Alors soyons Fair play...

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Messe de la St Roland à Chézery...2022. le reportage de en photo de Mr Dominique PROST

https://photos.app.goo.gl/PnpwPfU4JDmcgRi48

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Le bénédicite avant le repas peut-avoir son utilité chez certains:

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PRENDRE DU TEMPS POUR DIEU

ou dans un style plus trash qui a bien fait rire notre sacristain:

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Méditation 

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Les plus belles représentations de la Sainte Trinité (aleteia.org)

 

 

 

 

 

 

 

 

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BENEDICTION DES CHEVAUX - RALLYE DE L'AIN

PRIERE DU CHEVAL

Cavalier, laisse moi te dire ...
Je suis un coureur de prairies,
j'aime les grands espaces.
Fais-moi travailler en premier lieu dans la nature,
car elle est ma joie de vivre.
Je te donnerai en échange le meilleur de moi-même. Et nous partagerons ensemble la joie des gra

Je n'aime pas vivre seul,
j'ai besoin de la compagnie de mes semblables pour galoper,
pour manger, pour jouer ou pour me battre.
S'il te plaît ne m'emprisonne pas.

Je suis donc facilement impressionnable,
l'agressivité me traumatise

C'est pourquoi j'ai besoin que tu m'expliques,
mais surtout que tu me mettes en confiance, avec patience, avec amour.

À ceux qui me dominent,
j'offre ma force, ma rapidité, ma résistance.

Mais à ceux qui m'apprivoisent,
j'ouvre les portes de ma propre magie.
Car je suis plus qu'un moyen, je suis un compagnon.

Mon univers est celui d'un ordre oublié,
celui des forces vives et des sensibilités où l'homme
retrouve son être originel et son identité.

Cavalier, si tu m'aimes...
Médite et fais ce qui convient.

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Ne nous laisse pas entrer en tentation:

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Avec beaucoup d'humour, Jean Lassalle raconte son premier acte officiel en tant que Maire de Lourdios-Ichère après son élection en 1977 : l'enterrement d'un ancien adjoint qui tourne vite à la catastrophe...

 

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lu sur un vieux Calvaire flamand de 1632,

Je suis la Lumière          Et vous ne me voyez pas
Je suis la Route              Et vous ne me suivez pas
Je suis la Vérité              Et vous ne me croyez pas
Je suis la Vie                   Et vous ne me recherchez pas
Je suis votre Maître        Et vous ne m'écoutez pas
Je suis votre Chef           Et vous ne m'obéissez pas
Je suis votre Dieu           Et vous ne me priez pas
Je suis votre grand Ami Et vous ne m'aimez pas

Si vous êtes malheureux, Ne me le reprochez pas.

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Au fond de l'église de Lelex venez découvrir notre chemin de Carême qui finira dans 40 jours en jardin de Pâques

charles de Foucauld nous accompagne dans ce chemin au désert...

 

 

 

 

 

 

 

 

1er dimanche la tentation au désert

 

 

Comment vivre le Carême avec Jésus ? | (catholique.fr)  

 un livret est proposé au fond de l'église de Lelex et de Mijoux

 

 

 

 

 

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Mr Bean à l'église... Si c'est possible .... on l'a déjà vu chez nous... pendant une homélie du Père Luc...

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Comme il est de coutume, en ce premier jour de l’année, d’offrir des vœux à ceux qui nous sont chers, je voudrais profiter de cette occasion pour vous en offrir trois :

-d’abord le vœu de savoir se faire aider

-ensuite le vœu de savoir être reconnaissant

-enfin le vœu de savoir durer

 

-Savoir se faire aider est un art difficile car il suppose un terrain préparé pour cela :

ce terrain, c’est la reconnaissance de l’infirmité radicale d’un être, nous-mêmes, qui ne pouvons espérer tout accomplir avec nos propres forces et la conviction que c’est une chance inespérée -une grâce- de rencontrer des personnes qui pourrons nous aider sur ce chemin, en y posant des balises de signalisation, en aplanissant certains obstacles, en nous donnant la main dans les passages difficiles, en nous poussant parfois pour avancer à certaines étapes difficiles et même en nous portant, quand la route devient infranchissable. Pourtant, il ne suffit pas que ces personnes existent et se trouvent près de nous au bon moment (ce qui est déjà un petit miracle) mais il faut aussi, et surtout pourrait-on dire, que nous acceptions cette aide et que nous apprenions à en tirer profit, non par paresse ou par démission mais avec lucidité et intelligence, ce qui, on doit le reconnaitre, n’est pas si facile à accomplir. Ces rencontres ne sont pas nombreuses mais elles sont décisives et on peut dire que, sans elles, nous ne ferions jamais le chemin qui est le nôtre. Rétrospectivement, on doit remercier Dieu de les avoir suscitées, demander pardon d’en avoir si mal profité et souhaiter à beaucoup d’en faire de semblables et d’y trouver courage, force, persévérance et joie.

 

-Savoir être reconnaissant est la conséquence directe du fait d’avoir été aidé.

C’est un devoir de justice et c’est aussi une garantie pour ne jamais manquer des secours dont nous avons besoin. Ne pas rendre grâce constituerait en effet une ingratitude qui pourrait nous fermer l’accès aux dons de Dieu. Cependant, une nécessité s’attache à cette reconnaissance, c’est celle de rendre grâce pour tout, c’est-à-dire de reconnaître en tout, la main de Dieu qui nous guide et nous façonne. Remercier pour les choses bonnes qui nous sont arrivées n’est pas bien difficile, mais remercier pour tout, pour les joies et aussi pour les épreuves, pour les réussites mais aussi pour les ratées, pour les entraves mises plus ou moins volontairement dans l’intention de nous faire trébucher, pour les calomnies, les méchancetés semées à tout vent pour détruire notre réputation, c’est bien autre chose ! Pourtant, à y regarder de près, on se doit vraiment de remercier Dieu puisque toutes ces contradictions nous font faire des pas que nous n’aurions sans doute pas accomplis autrement. Saisir toute occasion pour rendre grâce n’est pas une attitude naïve ou ridicule, c’est l’expression d’une intuition du mystérieux dessein de Dieu sur chacun, intuition qui ne peut être qu’une grâce puisque, par un mouvement bien naturel, nous cherchons habituellement à échapper aux contradictions de la vie ou, au mieux, à les dépasser sans en comprendre le sens. Qui sait, en toutes choses, rendre grâce à Dieu, ne manquera jamais de raisons de dire merci et pourra ainsi marcher dans la vie autrement qu’en se répandant continuellement en plaintes inutiles.

 

Dernier vœu, enfin, celui de savoir durer.

Rien ne se fait sans le concours du temps. C’est sans doute le seul vrai privilège de l’âge que de s’en rendre compte et d’en tirer quelque leçon, même s’il est parfois un peu tard pour le faire, il faut bien le reconnaitre. Mais, là encore, la constatation ne suffit pas, il faut plus qu’une sorte de passivité qui laisse le temps s’écouler, il faut vouloir l’utiliser pour bâtir du solide et éprouver cette solidité jour après jour. Il y a, certes, un effet d’usure du temps, mais il y a, aussi et surtout, la possibilité de s’en servir pour rendre plus ferme notre propos, plus assuré notre pas, plus aiguisé notre jugement grâce à l’incomparable avantage de l’expérience. Avancer dans la vie procure ces biens inestimables pourvu qu’on agisse avec son intelligence plus qu’avec ses sentiments, pourvu qu’on apprenne à lire les signes qui s’offrent à nous dans la perspective de la vie avec Dieu, pourvu qu’on sache tirer de toute situation la leçon que Dieu y a cachée et que, bien souvent, seul le temps nous permet de lire correctement. Heureux celui qui avance ainsi, il récoltera la paix du cœur et rien ne pourra le décourager !

 

Que la Sainte Mère de Dieu fêtée en ce jour, obtienne à tous en abondance l’art de se faire aider, le don de la reconnaissance et la capacité à durer dans la recherche de Dieu qui seule fait notre vrai bonheur.

(texte du Père abbé de Septfons)

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Un magnifique reportage en image sur Chezery réalisé par Mr Dominique PROST;

vraiment un régal à découvrir et savourer sans modération: https://photos.app.goo.gl/QqDDT8USnkhN9i9z8

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La légende de la croix Pinet

Une légende raconte qu’il y a fort longtemps, vivait dans les profondes forêts du Haut-Jura, un cruel chasseur sanguinaire. Sa méchanceté l’avait ensorcelé en une créature mi-homme, mi-bête qui terrorisait tous les villageois de la vallée de la Valserine.

(L’histoire nous dit que le sortilège ne cesserait que lorsque le cœur du Sauvage redeviendrait aussi pur que celui d’un enfant.)

Avec le temps, le repentir gagnant, son cœur changeait et son apparence redevenait tout doucement plus humaine. Surtout, il souffrait de plus en plus de solitude et désirait ardemment retrouver les siens.

Beaucoup plus bas dans la vallée, au hameau de Chézery, des moines venus de contrées lointaines, s’installèrent. Ils défrichèrent la large combe pour la cultiver et évangélisèrent le petit peuple, qui reçut, pour la plupart, avec bienveillance la bonne nouvelle du Christ ressuscité. Il y avait parmi eux, un Saint abbé, mais laid et bossu, du nom de Roland Pinet. Il cachait sous son air repoussant un cœur sensible et mystique. Il aimait s’isoler dans la nature pour prier et parler aux animaux des bois qu’il apprivoisait miraculeusement.

Des paysans ont aussi raconté que Frère Roland, pour qu’ils puissent se désaltérer par une chaude journée d’été, avait fait jaillir par sept coups de bâton, sept sources qui depuis alimentent sept fontaines au lieu-dit aujourd’hui du même nom.

C’est par un doux matin de printemps que les deux âmes se rencontrèrent.  Jour après jour, le Terrible et le Saint apprirent à se connaître.

Ils aimaient se retrouver dans les Mirafioris, sur les adrets, ou aux bords des lacs éphémères.

Frère Pinet ouvrait le cœur du monstre à la douceur de Dieu et celui-ci, avec son vieux couteau de chasseur, par amour et reconnaissance pour son ami Roland, sculptait une forêt merveilleuse : les troncs de tous les épicéas de la montagne étaient ornés de croix, séraphins, vierges Marie, bas-reliefs gravés dans le bois. Aux levers et couchers de soleil d’automne, la forêt s’illuminait d’une clarté surnaturelle.

Malheureusement les temps s’assombrirent.

Le moine qui charmait toutes les bêtes sauvages, comme dans un jardin d’Eden, fut accusé par les villageois d’attirer ourses et loups près des troupeaux et habitations.

Son ami des bois le retrouva, un soir d’hiver, mort, le cœur transpercé de mille flèches.

Pris de douleur, il l’enterra et sculpta une dernière fois une croix de bois, orné d’un cœur de fer transpercé du nom du Saint abbé Pinet, qu’il cloua à un sapin, au lieu même de sa sépulture.

L’homme-bête pria le Seigneur de ne pas redevenir Homme mais définitivement Bête afin de fuir dans le secret des montagnes, loin de toute civilisation.

Dieu l’exauça et il devint le plus bel animal qui vive dans le pays du Jura, Lynx, sauvage et majestueux, prince des forêts.

Quant à la fabuleuse croix sculptée, elle existe toujours. On raconte aux petits enfants qui aiment les histoires merveilleuses que Saint Roland et Saint Joseph, avec ses outils de charpentier, viennent l’entretenir régulièrement les soirs de pleine lune.

Ami randonneur, tu peux aujourd’hui l’admirer entre Grand Serre et Michaudie.

Et peut-être, Y apercevras-tu le Lynx....

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Samedi 9 octobre notre pélérinade a conduit une quinzaine de paroissien de 6 à 79 ans sur les sentiers et chemins de la vallée au dessus des septfontaines.

l'un des objectifs de la journée , outre le fait de vivre un beau moment partagé sur les chemins d'automne , c'était de découvrir cette mystérieuse croix PINET fixée sur un sapin entre le GrandSerre et les ruines de la Michaudie...

Philippe avait préparé une jolie croix de bois neuf, il ne restait plus qu'à la monter et la fixer. C'est notre plus jeune participant qui se porta volontaire pour la transporter dans les passage les plus difficile de la montée. 

Si le bois se renouvelle le coeur poinçonné résiste au temps et continuera à intriguer

 le randonneur de passage sur sa mystérieuse origine...après de longue recherche voici quelques explication sur l'origine de  cette croix PINET:

version1:

Cela faisait longtemps que je souhaitais retrouver les lieux,  tant évoqués dans mon enfance, par mon père.

Il parlait toujours de cette forêt, de la centrale électrique si appréciée dans la vallée, de la grotte…. Sa grotte !!!... avec tant de mystère !! De l’eau, un abri… il décida de s’y arrêter. De son maigre bagage, il sortit quelques victuailles et en hâte, se prépara une couchette et s’y endormit. Tant de fatigues chez cet ancien colporteur… !! Suite à une sombre histoire de contrebande, il avait pris la décision de quitter son pays, sa famille, ses amis, espérant atteindre la Suisse pour suivre on ne sait quel rêve !

Cela faisait déjà 6 jours qu’il était en fuite, ce lieu lui sembla accueillant pour s’y établir.  Les prés reverdissaient déjà en ce printemps 1942. Quel réveil inattendu, alors qu’il se croyait au milieu de nulle part ; les sonnailles d’un petit troupeau, non loin de là parvint à ses oreilles. Quel enchantement, une jeune bergère et quelques chèvres gambadaient joyeusement. La surprise fut réciproque et suivie d’échanges bienveillants.

Dans ce havre de paix, il y resta suffisamment de temps pour envisager un avenir florissant avec Thérèse, qui devint sa tendre amie de plus en plus présente. De leurs échanges passionnés, sortit un engagement gravé dans leurs cœurs….

 Et, dans le cœur retrouvé, cloué sur une croix, elle-même fixée sur un sapin que Thérèse dressa à l’endroit même de leurs rencontres, bien tristement, après la disparition tragique de son ami Gaëtan ! Son départ tragique reste inexpliqué ; mais le message, témoin de ce temps immémorial, ne laisse pas le passant indifférent.

PINET   Serait le raccourci, comme le mot de passe, de leurs vœux secrets :

Patience

Indépendance

Naturellement

Espérance

Tendresse

 

Telle est l’histoire de Gaëtan (camarade de mon père) et de Thérèse ! ……  de leurs vœux évanouis !

…. Et de cette énigme (dans ce cœur métallique) partiellement élucidée mais encore visible vers le lieu-dit : « La Tourmente » !

                                                 Bon cheminement …..   Cher  promeneur ….. !!

 

Version 2 :

En ce 30 juin 1994, je sens que j’arrive au bout de mon parcours sur cette terre : bientôt je remettrai mon âme à Dieu mais j’aurai eu une bien longue vie puisque j’ai fêté mes 96 ans au dernier printemps…

Lorsque mes yeux se fermeront, ils emporteront avec eux les visages de ceux que j’ai aimé et dont je suis peut-être aujourd’hui la dernière à me souvenir.

Je suis aujourd’hui une bien vieille femme aux mains toute fripées et aux yeux bien usés pourtant il n’en a pas toujours été ainsi ; j’ai été belle et pétillante, les cheveux aux vents je coursais les chamois sur les crêtes du Jura. Ma famille passait l’estive à la ferme de la Michaudie près du col de la Faucille. En gardant les bêtes je bondissais de rocher en tronc d’arbre et nos rires s’envolait au vent… Mon cœur aussi faisait des bonds lorsque j’apercevais la silhouette de l’Emile, l’aînée de la famille PINET, nos voisins qui habitaient la ferme du Grand serre. Nous avions grandi ensemble comme ces beaux arbres, fayard et sapin, qui malgré leurs essences différentes unissent leur branchage.

Sur le sentier qui reliait nos deux fermes nous avions « notre » sapin ; ses branches abritaient nos rires et nos silences, nos amicales confidences et nos chants et nos poèmes… il était notre ami. L’Emile aimait les arbres de sa race ; il disait que leur tronc droit qui s’élevaient droit vers le ciel était une belle image de ce que devait être une âme humaine ; je me moquais de lui en lui disant que leur écorce était bien rugueuse comparer au fayard dont le tronc avait souvent l’apparence de la peau… L’Emile aimait travaillé le bois et son cœur était reconnaissant aux arbres de nos forêt de se donner à nous pour nous chauffer ou bien pour se transformer en table.

A l’abri de nos branches la guerre dont parlait les gens du Pays nous semblait bien lointaines… jusqu’à ce jour d’octobre 1915. Je m’en souviens trop bien. Ce jour là j’étais arrivée la première sous notre sapin ; lorsque je vis la silhouette de l’Emile se découper sur le chemin je compris d’instinct que ce moment était grave. Il me tendit un papier et m’annonça sa mobilisation et son départ pour la guerre avec ceux de sa classe. Silencieusement mes larmes coulèrent sur mes joues ; avec délicatesse il les essuya. Puis lentement il libéra sa chaîne avec sa croix de baptême et l’attacha à mon cou…

Je pris mon canif et coupa une mèche de mes cheveux ; attachée par un morceaux de mon ruban  je la posa dans la paume de ses mains et nous sommes resté longtemps  l’un contre l’autre serré contre notre sapin, seul témoin de nos silencieuses promesses.  Quand la lumière commença à décliner il me ramena à la Michaudie et salua mes parents avant son départ.

J’ai reçu 7 lettres écrites de sa main. Je m’empressais d’aller au grand Serre lire à sa maman les passages qui  intéressait sa famille , tout en  conservant pieusement ceux qui m’étaient tendrement destinés.

Un soir de 1916, c’est sa maman qui est venue chez nous ; elle portait à la main un courrier bleu de l’administration militaire qui annonçait que l’Emile était tombé au  « champ d’honneur ».

J’ai couru dans la nuit et je me suis retrouvé effondré au pied de « notre sapin ». mes larmes y ont coulé en abondances. Quelques semaines plus tard les gendarmes ont rapporté une petite boite métallique contenant quelques papiers et objet personnel dont ma mèche de cheveux. Le soir à la veillée j’ai découpée dans le couvercle de métal une petite tôle en forme de cœur et avec une pointe j’y ai inscrit le nom d’Emile. Son petit frère a assemblée une jolie croix de bois sur lequel il a vissé mon ex-voto de fortune et tous ensemble, nos deux familles, nous avons choisi de la fixer sur  « notre » sapin.

J’ai quitté la vallée.

J’y suis revenu 50 ans plus tard en 1966 ; la Michaudie avait brulé et ses murs de pierre était éventré mais sur le nouveau chemin qui rejoignait le grandSerre j’ai retrouvé «  notre sapin » mon cœur y était toujours accroché mais la croix de bois y était bien vermoulu. J’ai demandé au berger de la Maréchaude d’en refaire une nouvelle ce qu’il fit de bon cœur. Chaque année pendant 20 ans je suis repassé déposer un petit caillou au pied de  « notre arbre ». Je me souviens une fois y avoir croiser un gamin d’une dizaine d’année au regard espiègle. Nous avons échangé quelques mots. il m’a dit être de la vallée et vu comment son panier était rempli ça devait être un sacré ramasseur de champignons...

Voilà bien des années maintenant que mes vieilles jambes ne me permettent plus de rejoindre ce lieu si cher à mon âme.  J’imagine que comme mon vieux corps l’ex-voto de métal est rongé par la rouille et bientôtsans doute la croix de bois se détachera de « notre » arbre pour y pourrir au piedqui maintenant en  accrochera une nouvelle ? La croix PINET tombera dans l’oubli et ceux dont le souvenir qui y est attaché. Qu’il en soit ainsi si Dieu le veut….

Pour ma part je crois que bientôt je retrouverai celui que mon âme n’a jamais cessé d’aimer…

                                                Fait à Lyon , le dimanche 30 juin 1996                          Marie

 

Version 3 ( à venir) ...

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Une petite répétition de chorale paroissiale avec Louis de Funès en deux temps:

Le chant du Salve Régina revisité pour l'occasion ; une bonne préparation  pour le mois d'octobre , mois du Rosaire, mois de Marie...

en voici les paroles traditionnel en latin  et leur traduction 

R:Salve, Regína, mater misericórdiae
     vita, dulcédo et spes nostra, salve
[...]
Et Jesum, benedíctum frucum ventris tui,
nobis post hoc exsílium ... dulcis Virgo María

Salut ô Reine, Mère de miséricorde,
notre vie, notre consolation notre espoir, salut !
Et après cet exil, obtenez-nous de contempler Jésus,
le fruit béni de votre sein,  ô douce Vierge Marie

Un autre classique pour notre chorale:

un beau refrain chanté dernièrement à l'église de Mijoux ( d'après un texte du prophète Isaie)

R/ La vigne du Seigneur Sabaoth, C'est la maison d'Israël.

1. Mon bien-aimé possédait une vigne sur un fertile coteau.
2. Il l'entoura d'un fossé et d'un mur, y mit son plant le meilleur.
3. Puis, au milieu il bâtit une tour. Il y creusa un pressoir.

dans la foulée révisons nos prières avec le gendarme de St Tropez: pour commencer l'acte de contrition:

Mon Dieu, j’ai un très grand regret de vous avoir offensé parce que vous êtes infiniment bon et que le péché vous déplaît. Je prends la ferme résolution, avec le secours de votre sainte grâce, de ne plus vous offenser et de faire pénitence

Revisitons la Prière du "Notre Père":

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Bénir sa maison

La porte d’entrée d’une habitation est l’une des composantes les plus importantes d’un foyer. À travers elle, nous entrons et nous sortons, nous accueillons ceux qui viennent nous rendre visite et nous disons au revoir à nos amis de longue date. C’est  de départs et d’arrivées.

C’est pourquoi, nous devrions prier Dieu de bénir et de protéger notre porte d’entrée.

Que la paix de Dieu descende sur cette maison et sur tous ceux qui l’habitent. Seigneur Très Saint, Père Tout puissant, Dieu Éternel : Tu es l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. Tu veilles sur nous, de la naissance jusqu’à la mort. Daigne bénir la porte de notre maison. Dans Ta bonté, envoie du haut du ciel Tes saints anges pour garder, protéger, visiter, réconforter et encourager ceux qui résident en cette demeure.

Quand nous franchissons cette porte, attire-nous davantage à Toi. Qu’un esprit d’humilité, de bonté, de douceur et de gratitude triomphe en ce lieu. Ô Seigneur, Tu es la porte de la vie éternelle. Bénis toutes les fois où nous entrons et où nous sortons de cette maison, et déverse sur nous une abondance de grâces. Nous Te prions de bénir et de sanctifier cette maison, comme Tu as béni autrefois la maison d’Abraham, d’Isaac et de Jacob. Que Tes anges de lumière fassent leur demeure en ce lieu, pour le protéger et veiller fidèlement sur ses habitants. Que cette bénédiction descende sur cette maison et sur tous ceux qui y vivent, maintenant et pour les siècles des siècles. Amen.

 

 

Sainte Vierge bénie vous qui avez tenu la maison de Nazareth en l'ouvrant à la grace divine, Préservez notre maison de tout mal.

Sainte Marie, Mère de Dieu, qui avez été conçue sans péché, je vous choisis aujourd’hui pour Dame et Maîtresse de notre maison. Je vous prie de la préserver du feu, de l’eau, du tonnerre, de la tempête, des tremblements de terre, des maléfices et voleurs, de tout mal.

Bénissez et protégez, Vierge Sainte, toutes les personnes qui y demeurent. Obtenez-leur la grâce d’éviter tout péché, hérésies, divisions, maladies, mort subite et autres malheurs et accidents.

Faites que cette maison soit toujours consacrée à vous et votre fils Jésus.

Amen

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Le dernier point  de l'Agence européenne du médicament sur l'efficacité des vaccins face à l'arrivée des nouveaux variants  :



- Savez-vous que le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir

- Alors que le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique

- Pour le Bordelais, pas de souci on a les Médoc

- Le variant Normand est difficile à prévoir : "p'têt ben qu'oui, p'têt ben qu'non"

- Cependant que le variant Belge serait redoutable, ça finit généralement par une mise en bière

- Ne craignez plus le variant Chinois, il est cantonné

- Par contre, le variant SNCF arrivera plus tard que prévu

- Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait grave voire dangereux

- En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan

- De son côté, le variant Ecossais se tient à carreau

- Apparemment avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire

- On parle de l'émergence d'un variant Colombien, mais il semblerait que ce soit de la "poudre" aux yeux

- Vivement l'arrivée du variant Jamaïcain, ça va détendre l'atmosphère mondiale

- S'agissant du variant Moscovite, c'est un méchant ViRusse.

- Pour sa part, le variant Corse s'attrape au bouleau et il est transmis par l'écorce

- Le premier symptôme du variant Breton, c'est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette chanter

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Une histoire sur le poids du péché et sa libération, tirée du film Mission avec Robert de Niro. un beau film de carême...   

Extrait:

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Une nouvelle chapelle dans la vallée:

 Magnifique construction inaugurée ce 11 fevrier; merci à ceux qui se sont improvisés moines batisseurs et qui à defaut de prendre le télésiège ont su malgré tout s'élever.

il est question de mettre cet oratoire sous la protection de St GlaGla, moine jurassien lapidé à coup de boules de neige....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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C'était le dernier concert en l'église de Chezery , il y a bientot 6 mois, agréable flash back:

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A tous ceux qui s'usent et se fatigue pour les autres, en un mot qui se donnent ....

et en voici le texte

ELOGE DE LA FATIGUE 

Vous me dites, Monsieur, que j’ai mauvaise mine,
Qu’avec cette vie que je mène, je me ruine,
Que l’on ne gagne rien à trop se prodiguer,
Vous me dites enfin que je suis fatigué.
Oui je suis fatigué, Monsieur, et je m’en flatte.
J’ai tout de fatigué, la voix, le coeur, la rate,
Je m’endors épuisé, je me réveille las,
Mais grâce à Dieu, Monsieur, je ne m’en soucie pas.
Ou quand je m’en soucie, je me ridiculise.
La fatigue souvent n’est qu’une vantardise.
On n’est jamais aussi fatigué qu’on le croit !
Et quand cela serait, n’en a-t-on pas le droit ?

Je ne vous parle pas des sombres lassitudes
qu’on a lorsque le corps harassé d’habitudes
n’a plus pour se mouvoir que de pâles raisons…
Lorsqu’on a fait de soi son unique horizon…
Lorsqu’on a rien à perdre, à vaincre, ou à défendre…
Cette fatigue-là est mauvaise à entendre ;
Elle fait le front lourd, l’oeil morne, le dos rond.
Et vous donne l’aspect d’un vivant moribond…

Mais se sentir plier sous le poids formidable
des vies dont un beau jour on s’est fait responsable,
Savoir qu’on a des joies ou des pleurs dans ses mains,
Savoir qu’on est l’outil, qu’on est le lendemain,
Savoir qu’on est le chef, savoir qu’on est la source,
Aider une existence à continuer sa course,
Et pour cela se battre à s’en user le coeur…
Cette fatigue-là, Monsieur, c’est du bonheur.

Et sûr qu’à chaque pas, à chaque assaut qu’on livre,
On va aider un être à vivre ou à survivre ;
Et sûr qu’on est le port et la route et le quai,
Où prendrait-on le droit d’être trop fatigué ?
Ceux qui font de leur vie une belle aventure,
Marquant chaque victoire, en creux, sur la figure,
Et quand le malheur vient y mettre un creux de plus
Parmi tant d’autres creux il passe inaperçu.

La fatigue, Monsieur, c’est un prix toujours juste,
C’est le prix d’une journée d’efforts et de luttes.
C’est le prix d’un labeur, d’un mur ou d’un exploit,
Non pas le prix qu’on paie, mais celui qu’on reçoit.
C’est le prix d’un travail, d’une journée remplie,
C’est la preuve, Monsieur, qu’on vit avec la vie.

Quand je rentre la nuit et que ma maison dort,
J’écoute mes sommeils, et là, je me sens fort ;
Je me sens tout gonflé de mon humble souffrance,
Et ma fatigue alors est une récompense.

Et vous me conseillez d’aller me reposer !
Mais si j’acceptais là, ce que vous me proposez,
Si j’abandonnais à votre douce intrigue…
Mais je mourrais, Monsieur, tristement… de fatigue.

Robert Lamoureux

Robert Lamoureux - 1953

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Voici la Bénédiction qui résonne une nouvelle fois pour cet an de grâce 2021. "qu'Il te montre son visage" ( bas les masques, nous l'espérons)

 

Horoscope du Baptisé :

Si vous etes né entre le 1er janvier et le 31 décembre       -« vous êtes sous le signe de la Grâce de Dieu »

Astre dominant :

Le Soleil levant qui vient nous visiter (Lc 1,78)
-La brillante étoile du matin (Jésus-Christ)

En Amour :

Toujours heureux d’être aimé de Dieu et d’aimer car « Rien ne nous séparera de l’Amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ » (Rom, 39)
« Tu aimeras ton prochain comme toi-même »

Voyages :

Le Seigneur gardera ton départ et ton retour, dès maintenant et pour toujours (Psaume121, 8)
« Tu me me conduiras jusqu’au Rocher trop loin pour mes propres forces (Psaume60)

Argent :

« Dieu pourvoira à tous vos besoins selon Sa Richesse » (Ph 4, 19)
« J’ai appris a être content de l’état où je me trouve » ( Ph 4, 11)

Evénements mondiaux :

 « vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerre ; gardez-vous d’être troublés » (Mt 24, 6)
« N’ayez pas peur, Ne craignez pas » (cité 365 fois dans la bible – une fois pour chaque jour de l’année)
« Je suis avec vous tous les jours, jusqu’à la fin des temps » (Mt 28)

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La famille Lefèvre vous offre une berceuse de Noël

Elue grande gagnante de « la France a un Incroyable talent » avec 30% des suffrages, la famille Lefèvre vient de sortir le clip « Dormi Jesu », berceuse idéale en ce temps de Noël.

D’où vient l’incroyable talent de la famille Lefèvre ?

Grande gagnante de l'édition 2020 de La France a un incroyable talent, cette famille versaillaise de six enfants a bouleversé le jury de l’émission avec ses chants sacrés. Famille Chrétienne les avait rencontrés avant la finale.

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La magnifique méditation de Mère Teresa sur Noël

C‘est Noël chaque fois que vous souriez à votre frère et lui tendez la main, chaque fois que vous vous taisez pour écouter quelqu’un, chaque fois que vous tournez le dos aux préjugés qui relèguent les opprimés aux confins de leur isolement, chaque fois que vous espérez avec les prisonniers, ceux qui sont chargés du poids de la pauvreté physique, morale ou spirituelle, chaque fois que vous reconnaissez avec humilité vos limites et votre faiblesse.

C’est Noël chaque fois que vous permettez à Dieu d’aimer les autres à travers vous.

Prions Dieu qu’à Noël nous puissions accueillir Jésus non dans la froide mangeoire de notre cœur, mais dans un cœur plein d’amour et d’humilité, animé par la chaleur de l’amour que nous avons les uns pour les autres.

                                                                                                                    Mère Teresa

Et en cadeau cette perle chantée par le délicieux Bourvil: La Tendresse.

( écoutez le 3è couplet qui rejoint notre actualité et le dernier qui est une prière)

Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu...
Dans votre immense sagesse Immense ferveur
Faites donc pleuvoir sans cesse
Au fond de nos cœurs
Des torrents de tendresse
Pour que règne l’amour
Règne l’amour Jusqu’à la fin des jours

En ces fêtes de la Nativité puission nous (re-)découvrir la TENDRESSE DE DIEU dans le visage de Jésus enfant

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un flash mob en centre commercial avec des chants de Noel ; SAVOUREUX!!!

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Ce dimanche 6 décembre Gérard et Colette Burdairon ont reçu notre reconnaissance

Depuis 2008 ils sont des piliers de notre communauté paroissiale. Ils redescendent cette semaine sur Grenoble , et pour raison de santé le retour au printemps dans leur maison de Menthières est incertaine. Après l'émotion exprimée par Daniela, Voici le petit mot improvisé par Georges:

M-E-R-C-I

Permettez-moi de commencer mon discours par un M Majuscule pour vous dire mille merci.
Mille merci pour votre dévouement au sein de notre paroisse, pour tout ce que vous avez apporté à nos liturgies tant par vos chants, la musique, la mise en place de la sono, du chauffage etc....

Je poursuis avec un E comme Embellissement, Equipe.
Merci pour les ornements floraux de nos églises et pour vos participations aux seins des divers conseils paroissiaux où vous avez été nos délégués et avez impulsé un certain dynamisme au sein de notre vallée.

Maintenant un R comme Richesses des Rencontres.
En effet, vos personnalités singulières sont source de joie, de bonheur et le tout avec humilité, humour et modestie.

J'ajoute un C comme Célébration, Chants.
Merci pour les animations liturgiques, pour avoir donner du relief à nos messes.
 Merci aussi pour la découverte de nouvelles mélodies

Enfin je rajoute le I comme ICTUS car vous êtes de fervents chrétiens qui vivez pleinement votre foi en étant à l'écoute de l'autre et en vous impliquant dans votre communauté.

Alors MERCI pour tout ce que vous nous avez donné, apporté et nous regrettons votre départ.
Bon cheminement à vous en union de prières et de pensées."

 

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Quelle joie de découvrir  ce cantique religieux chanté sur scène.

Un beau moment d'émotion et de prière avec Kendji Girac, et un témoignage de Foi au passage dans le monde du showbiz...

à ne pas louper.

( merci Marie-Pierre pour cette perle)

1. Ô prends mon âme, prends-là, Seigneur,
Et que ta flamme brûle en mon cœur.
Que tout mon être vibre pour toi,
Sois seul mon maître, ô divin roi.

R.Source de vie, de paix, d’amour
Vers toi je crie la nuit, le jour
Guide mon âme, sois mon soutien 
ou ( entends ma plainte , sois mon soutien)
Remplis ma vie, toi mon seul bien.        (calme ma crainte, toi mon seul bien )

2. Du mal perfide, ô garde-moi,
Sois seul mon guide, chef de ma foi,
Quand la nuit voile tout à mes yeux,
Sois mon étoile, brille des cieux.

3. Voici l’aurore d’un jour nouveau,
Le ciel se dore de feux plus beaux,
Jésus s’apprête, pourquoi gémir,
Levons nos têtes, il va venir.

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Quatre Padrés, aumôniers militaires engagés au quotidien auprès des forces armées, chantent la gloire de Dieu.

Trois sont prêtres, le quatrième est diacre en vue du sacerdoce, accompagnés de deux aumôniers laïcs.

Sur le terrain, ils accompagnent spirituellement et humainement les militaires. Ils se retrouvent aujourd’hui pour évangéliser par le beau et par le chant.

Découvrez leur site

vous pouvez aussi écouter le titre " Regardez l'humilité de Dieu" ; nous le chanterons sans doute ce Noel à Lelex 

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Pour nous péparer à Noel nous ne manquerons pas de faire la crêche; voici les consignes liées au contexte sanitaire actuel:

PROTOCOLE D’ÉTABLISSEMENT DES CRÈCHES POUR NOËL 2020

1.- Un maximum de 4 bergers sera autorisé dans la crèche. Tous devront porter le masque et respecter la distanciation sociale. 
2.- Joseph, Marie et l’Enfant Jésus pourront rester ensemble, vu qu’ils font partie d’une même bulle familiale.
3.- L’âne et le boeuf devront détenir un certificat de non-contamination, délivré par l’AFSCA. 
4.- Les Rois Mages seront tenus à une quarantaine de 15 jours, qu’ils disposent ou non d’un test Covid négatif, vu qu’ils viennent de l’extérieur de l’espace Schengen.
5.- La paille, la mousse, les branches de sapin et autres décorations seront désinfectés à l’alcool. 
6.- L’ange survolant la crèche ne sera pas autorisé, en raison de l’effet aérosol produit par le battement de ses ailes.
7.- Le chœur sera restreint à un seul participant, en raison du risque de contamination.
8. Aucun berger ne sera âgé de 65 ans ou plus, catégorie à risque. 
7.- Tous les participants non essentiels (romains, pêcheurs, ...) sont interdits. 
8.- Pilate expliquera à tous les participants autorisés comment se laver les mains. 

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Un psaume ou Le chant d'un rescapé

C’est l’histoire d’un petit homme, rejeté, méprisé et oublié de tous, et qui, malgré tout, continue à chercher l’espoir….

https://vodeus.tv//video/un-psaume-ou-le-chant-dun-rescape-2412

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Reconfinement : ce passage de Don Camillo va vous redonner le moral

Dans ce passage de la saga de Don Camillo, le célèbre prêtre en soutane réconforte comme il le peut ses paroissiens, privés de messes à cause des inondations. Au-delà de la performance cinématographique, le message plein d’espérance de l’acteur est un joli clin d’œil à notre temps.

« Mes bien chers frères. Puisque l’office divin ne nous est pas permis dans les circonstances actuelles, laissons une prière d’espérance s’élever vers le Ciel ! » s’exclame Fernandel au début de l’une des scènes les plus émouvantes du film Le Retour de Don Camillo. Devant le maître-autel de son église, avec de l’eau jusqu’aux genoux, au milieu de l’édifice totalement inondé, Don Camillo interpelle les habitants désespérés par la montée des eaux. « L’Homme a connu d’autre déluges. Mais un jour, les eaux se retirent, le soleil revient, les fleurs refleurissent, et l’Homme recommence ! » proclame-t-il.

Oui, un jour prochain vous reviendrez, et nous recommencerons tous ensemble !

A l’heure où les catholiques doivent de nouveau être privés de l’Eucharistie pendant plusieurs semaines, comment ne pas apprécier d’autant plus le passage de ce film culte ? Si la situation ne prête pas à rire, les mots de Don Camillo sont très bien trouvés et peuvent être source de réconfort en ces temps troublés… « Oui, un jour prochain vous reviendrez, et nous recommencerons tous ensemble ! (…) Nous nous souviendrons de la fraternité qui nous a unis dans ces heures terribles (…) Nous oublierons nos discordes, et quand nous aurons envie de mordre, nous tâcherons de sourire ! »

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Apprendre l'acte de contrition avec Louis de Funès

 

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Michael Lonsdale: un récit de conversion