Bohas-Meyriat-Rignat — Diocèse de Belley-Ars

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Bohas-Meyriat-Rignat

- Eglise de Bohas - 

Historique

La première mention de la paroisse, sous le nom de "Bodagum" ou "Boacum", remonte au XIème siècle. Elle était une des premières possessions de l'abbaye de Condat, dans la vallée du Suran. Un document de 1184 mentionne sa confirmation à l'abbaye jurassienne de Saint-Oyen (Saint-Claude) par l'Empereur Frédéric Barberousse. L'église elle-même, placée sous le vocable de Saint-Martin, atteste de l'ancienneté de la fondation.

Visite de l'église

Façade et abords

Autrefois, un cimetière entourait l'édifice. En témoignent la croix de la place ainsi que le bénitier et le pupitre en pierre de part et d'autre de l'entrée, servant entre autres aux cérémonies, à l'exorcisme sur les enfants non-baptisés avant leur entrée à l'église.

Le clocher

Sous l'égide du Seigneur Pierre de Montjouvent, il fut reconstruit en 1688 alors que l'église semblait être en piteux état. On prit le parti d'édifier sur le choeur une petite tour cubique de deux mètres de côté, percée de quatre fenêtres. Détruit sous la Révolution, il fut de nouveau reconstruit en 1830 tel qu'on le voit actuellement.Sa couverture est de style comtois.

La nef

Pierre de Montjouvent fit aussi voûter la nef que l'on dû étayer au XVIIIème siècle. C'est au cours des travaux de 1853 qu'on en remanie les murs, les voûtes. A cette occasion, le sol fut aussi dallé et reconstruit au Sud de la sacristie actuelle. Elle est précedée de deux bénitiers ovales, disposés symétriquement par rapport à l'allée centrale.

Le Choeur

Originellement carré et voûté dans son état au XVème siècle, il fut entièrement refait en 1853 selon le plan à cinq pans de l'architecte Darme de Bourg. Le tabernacle, déposé lors de la reconstruction, fut replacé avec sa grille sur le côté de l'abside.

La chapelle Notre-Dame

De la période médiévale, il ne reste que cette partie, au Sud du choeur, commanditée en 1444 par le Seigneur du lieu, Guillaume de Nancuyse, dans laquelle il se fit enterrer en 1475. Le vocable d'alors était Saint-Georges, patron des chevaliers, attestant l'ampleur de l'évergétisme laïc des grand féodaux du Bas Moyen-Age. En 1766, cette chapelle échoue aux mains de la nouvelle lignée locale, les Loubat de Bohan.

En pur style gothique, on peut y voir un lavabo liturgique dont la niche présente des restes de peinture mais surtout, on admirera la voûte ogivale et ses nervures retombant sur des culs de lampe sculptés aux armoiries de Nancuyse (écus encore visibles malgré le martelage de la Révolution). La fenêtre flamboyante a été restituée en 1974 lors de la restauration de l'édifice.

Mobilier

Chapelle Sud

Une peinture sur toile, à encadrement baroque représente, selon une manière classique, une Vierge à l'enfant. Enfin, un bénitier en pierre octogonal, provenant de la cure y a été déposé. On sait aussi qu'un certain nombre de mobiliers de bois (table de communion, autel, confessionnal...) ont été perdus par malveillance, il y a de cela une vingtaine d'années.

Chapelle Nord

On y contemplera la statue en bois doré et polychrome de Saint-Martin datée du XVIIème  ou XVIIIème siècle

- Eglise de Meyriat -

(à compléter)

 

- Eglise de Rignat - 

(à compléter) 

 

 

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